LE
TRAIN-JOUET FRANÇAIS ET ETRANGER :
ASPECTS
TECHNIQUES ET BREVETS D’INVENTION DEPOSES
Trains-jouets français : BLZ,
JEP, EDOBAUD, HORNBY,
Charles ROSSIGNOL, LR, GéGé,
JOUEF, VB, JRA,
TANTET et MANON, MALTETE et
PARENT, DESSEIN, FAIVRE,
LEFEVRE, etc
Trains-jouets étrangers :
DISTLER, MARKLIN, BING,
PLANK, SCHOENNER, CARETTE,
Max ERNST, FLEISCHMANN, LEHMANN,
OTTENSTEIN, PIKO, LIONEL,
IVES, BUCO, CARLISLE & FINCH, AMERICAN
FLYER, DORFAN, MTH
TOMY KOGYO CO, William HAFNER,
Louis MARX etc
CONTACT : mtr.train@free.fr
Membre du
CFE (Cercle Ferroviphile Européen) ; http://www.trainjouet.com/)
NOUVEAUTES 2022
Novembre 2022 : mise en ligne, dans la
seizième section de la troisième partie du site, de la suite des brevets US déposés entre 1920
et 1975 par la firme américaine LOUIS MARX & CO dans le domaine des
trains-jouets, les brevets étant classés maintenant dans les autres catégories
des attelages, du matériel roulant et de la traction // Online, in the sixteenth
section of the third part of the site, of the suite of the US patents filed
between 1920 and 1975 by the American firm LOUIS MARX & CO in the field of
toy trains, the patents being now classified in the other categories of
coupling devices, railway rolling stock and traction.
Novembre 2022 : mise en ligne, dans la
quinzième section de la troisième partie du site, des brevets US déposés
entre 1920 et 1975 par la firme américaine LOUIS MARX & CO dans le domaine
des trains-jouets, les brevets étant classés dans les catégories des
accessoires, voies et circuits complets // Online, in the fifteenth section of the third part of the site,
of the US patents filed between 1920 and 1975 by the American firm LOUIS MARX
& CO in the field of toy trains, the patents being classified in the
categories of accessories, tracks and complete « all-in-1 » railway
circuits.
Juillet 2022 : mise en ligne, dans la quatorzième section de la
troisième partie du site, des brevets US déposés entre 1905 et 1951 par la
firme américaine HAFNER MANUFACTURING COMPANY dans le domaine des trains-jouets
// Online, in the fourteenth section of the
third part of the site, of the US patents filed between 1905 and 1951 by the
American firm HAFNER MANUFACTURING COMPANY in the field of
toy trains.
Mai 2022 : mise en ligne, dans la treizième section de la troisième partie du site, des brevets déposés en Espagne dans l’intervalle
1900-1970 // Publication on line, in the
thirteenth section of the third part of the site, of patents filed in Spain in the
period from the 1900s to the 1970s.
NOUVEAUTES
2021
Août 2021 : mise en ligne, dans
la septième partie du site, des résultats de l’examen des brevets d’invention déposés à
l’ETRANGER par des firmes FRANCAISES qui ont fabriqué des trains-jouets // Publication
on line, in the seventh part of the site, of the results of the examination of
patents filed ABROAD by FRENCH firms which have manufactured toy trains.
Mai 2021 : mise en ligne, dans la
première section de la sixième partie du site, de l’actualisation de la MISE A JOUR – commencée en octobre 2020 –
de la liste des brevets déposés en FRANCE par des FRANÇAIS // Publication on
line, in the first section of the sixth part of the site, of the updating of the REVISION – started in October 2020 – of the list of patents
filed in FRANCE by FRENCH people.
Avril 2021 : mise en ligne, dans la quatrième section de la sixième partie du site, d’un nouveau complément consistant dans des affaires judiciaires, survenues aux USA entre 2000
et 2011 // Publication on line, in the fourth section
of the sixth part of the site, of a new supplement consisting of legal cases,
which occured between 2000 and
Mars 2021 : mise en ligne, dans la troisième section de la sixième partie du site, d’un complément consistant dans l’analyse d’une première affaire judiciaire en
matière de brevet, survenue en 1930 aux USA // Publication on line, in the third section of the sixth part
of the site, of a supplement consisting in the analysis of a first patent court
case, which occurred in
Février 2021 : mise
en ligne, dans la sixième section de la
cinquième partie du site, des brevets déposés en France entre 1920 et
1980 par des personnes physiques ou morales de nationalité JAPONAISE // Publication
on line, in the sixth section of the fifth part of the site, of the patents
filed in France between 1920 and 1980 by physical or moral persons of JAPANESE
nationality.
On trouvera ci-après un AVANT-PROPOS suivi des titres et des brefs
descriptifs des PREMIERE, SECONDE, TROISIEME, QUATRIEME, CINQUIEME, SIXIEME et SEPTIEME
PARTIES constituant ce site.
Pour accéder tant à l’AVANT-PROPOS qu’au détail du contenu de chaque
PARTIE du site, il suffit de cliquer, dans ce qui suit, sur les liens actifs
constitués par les titres soulignés et écrits en lettres bleues.
Où l’on présente un des objectifs visés par le présent site qui
est celui de compléter l’histoire captivante des trains-jouets en explorant un
domaine mal connu jusqu’ici et qui mérite d’être visité : celui de la propriété industrielle brevets prise par
les firmes qui ont travaillé à la construction des trains-jouets.
Où l’on présente
ensuite les sources essentielles des documents
brevets complets auxquels le présent site donne accès.
PREMIERE PARTIE DU
SITE : LES BREVETS D’INVENTION DEPOSES EN FRANCE PAR DES FRANÇAIS
Dans cette première partie, on va examiner la propriété industrielle brevets prise par les firmes françaises ayant construit en France des trains-jouets au cours des années 1920 à 1965, notamment les firmes BLZ, JEP, EDOBAUD, HORNBY, CR et LR, GéGé, JOUEF, VB, etc….
SECONDE PARTIE DU
SITE : ASPECTS TECHNIQUES DU TRAIN-JOUET FRANÇAIS
Dans cette seconde
partie, on se penchera sur certaines
réalisations techniques développées par les fabricants de trains-jouets
français, sur leurs évolutions et/ou sur leurs transformations.
TROISIEME PARTIE
DU SITE : LES BREVETS D’INVENTION DEPOSES A L’ETRANGER PAR DES NATIONAUX
ETRANGERS
Dans la troisième
partie de ce site, on se penchera sur
ce qui s’est passé à l’étranger dans les années 1860 à 1968 (ou même après
1968) en matière de brevets d’invention déposés par les fabricants de
trains-jouets. On pourra prendre connaissance ici de la production brevets
concernant notamment les firmes DISTLER, LIONEL, IVES, les fabricants allemands de locomotives à vapeur vive, BUCO, CARLISLE &
FINCH, AMERICAN FLYER,
DORFAN, MTH, William HAFNER, Louis MARX etc….
On s’intéressera aussi à ce qui s’est passé de manière globale dans un
pays étranger particulier en prenant en considération cette fois tous les
déposants (personnes physiques ou morales), tant ceux ayant la nationalité du
pays étranger considéré que ceux ayant une autre nationalité qui ont choisi de
faire une extension (dans le pays étranger considéré) de brevets d’abord
déposés dans leur pays d’origine. Commençons par l’Espagne.
QUATRIEME PARTIE DU SITE : MISCELLANEA OU
MELANGES DE BREVETS
Cette quatrième partie du site pourrait ressembler à une compilation de
sujets hétéroclites et/ou insolites. Nous devons entrer ici comme dans une
quincaillerie de jadis où, en un seul lieu, il était possible de trouver tout
ce que nous n’aurions pas imaginés pouvoir y trouver. Les sujets traités dans
cette quatrième partie devront tous concerner les trains-jouets anciens et les
brevets qui leur sont attachés (brevets anciens datant généralement du 19ème
siècle), et être si possible des sujets d’une grande originalité. Aucune
chronologie ne sera respectée dans la présentation des sujets.
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CINQUIEME PARTIE DU SITE : LES BREVETS
D’INVENTION DEPOSES EN FRANCE PAR DES NATIONAUX ETRANGERS
Un brevet national, le
brevet français ou le brevets anglais ou le brevet allemand par exemple,
protège son titulaire contre la fabrication et la vente dans le territoire
national ou contre l’introduction, dans le territoire national, de produits
fabriqués conformément au brevet national par un tiers non autorisé, même s’ils
l’ont été dans un pays où le déposant du brevet national n’a pas pris de
brevet. Pour une société donnée, la procédure normale consiste généralement à
déposer d’abord son brevet dans son propre pays (demande initiale), puis à
effectuer éventuellement des « extensions » à l’étranger dans le
délai de priorité d’un an.
Le choix d’un pays
industriel comme la France, dans lequel une société étrangère vient déposer un
brevet, constitue toujours une décision stratégique de première importance. Ce
choix se fera à partir de considérations touchant notamment à l’importance du
marché français existant ou potentiel dans le domaine technique concerné.
On pourra prendre connaissance ici des brevets déposés en France par des
sociétés étrangères comme notamment : MARKLIN,
d’autres firmes allemandes et des firmes japonaises.
SIXIEME PARTIE DU SITE : MISES A JOUR INDISPENSABLES ET COMPLEMENTS
Les mises à jour, dont il
est question dans cette partie, comprennent essentiellement des AJOUTS de
NOUVEAUX brevets déposés tant en FRANCE qu’à l’ETRANGER qui n’ont pas été
trouvés au moment de la rédaction et de la mise en ligne de telle ou telle
SECTION de la PREMIERE, TROISIEME, QUATRIEME, CINQUIEME ou SEPTIEME PARTIE du
site.
Les compléments, dont il s’agit ici, peuvent consister notamment en des
ANALYSES de brevets, des COMPARAISONS de brevets entre eux et des analyses
d’AFFAIRES JUDICIAIRES - en matière de propriété industrielle - survenues dans
le domaine des trains-jouets.
SEPTIEME
PARTIE DU SITE : LES
BREVETS D’INVENTION DEPOSES A L’ETRANGER PAR DES NATIONAUX FRANCAIS
Dans cette septième partie, on se penchera sur la question, non encore
abordée, de la protection dans un pays étranger des inventions faites par des
firmes françaises ayant fabriqué des trains-jouets. Le choix des pays
étrangers, le nombre de brevets français étendus à l’étranger, le
pourcentage/taux d’extension de brevets français à l’étranger, ainsi que le
contenu des brevets étrangers seront examinés.
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Mon
premier train électrique, un train BLZ en « O », me fut offert pour
Noël 1948. Il avait été acheté à Paris le 4 décembre 1948 à
Que de
belles heures me donna ce train ! Au fur et à mesure des années qui se
sont écoulées depuis cette période ancienne jusqu’à maintenant, ce train fut
petit à petit complété par l’acquisition de (presque) tous les autres matériels
produits par BLZ. Cet ensemble de matériels BLZ constitue une composante
importante de ma collection actuelle qui comprend notamment , outre des trains
BLZ, des trains-jouets EDOBAUD, HORNBY, JEP, LR, des locomotives en
« 0 » construites à partir de kits vendus dans le commerce.
Outre le
hobby de collectionner des trains-jouets, je porte aussi un grand intérêt à la
propriété industrielle, qui était mon ancien métier. J’ai pu réunir ces deux
pôles d’intérêt en me lançant, en 2009, dans la construction du présent site
Internet qui concernera donc, dans une large mesure, la propriété industrielle
notamment brevets prise par les grandes entreprises françaises et étrangères de
trains-jouets.
UN DES OBJECTIFS VISES PAR LE PRESENT SITE
Un des
objectifs visé par le présent site, est celui de compléter l’histoire
captivante des trains-jouets en explorant un domaine mal connu jusqu’ici et qui
mérite d’être visité : c’est celui de la propriété industrielle prise par
les firmes qui ont travaillé à la construction des trains-jouets et ont souvent
réalisé dans ce contexte des œuvres techniques réellement innovantes, œuvres
techniques qu’elles ont protégées en déposant, en particulier, des
brevets d’invention dont les descriptions, figures et plans sont toujours fort
intéressants.
Comment rendre un meilleur hommage aux
efforts qui ont été fournis, sinon en offrant la lecture de ces brevets qui
viennent attester le caractère judicieux et innovant de nombreuses pièces de
trains qui, pourtant à l’époque, étaient créées simplement comme jouets.
En outre, la
préparation et le dépôt d'une demande de brevet et la mise en œuvre de la
procédure d'examen - quant au fond - en vue d'obtenir un brevet devant un
Office national de propriété industrielle constituent une sorte de «chemin de croix» qui renforce le
respect que nous devons porter envers les inventeurs.
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ONE OF THE OBJECTIVES OF
THIS SITE
My
objective is to complement the fascinating history of toy trains in exploring a
field which is hitherto little known and merits to be visited : it is that of the
industrial property taken by the firms that
have worked on the construction of toy trains and have often made, in this
context, really innovative technical works which have been protected by filing,
in particular, patents including descriptions, figures and
plans which are always very interesting to read.
How to pay a best homage to the efforts that have
been provided by the firms of toy trains, if not by offering the reading of the
obtained patents. The innovative and judicious character of many pieces of
train (created simply as toys) is evidenced by said patents.
In
addition, the preparation and filing of a patent application and the carrying
out of the substantive examination procedure in order to obtain a patent before
a State Office constitute a kind of "the Way of the Cross"
which reinforces the respect that we must bear towards inventors.
Les lecteurs qui souhaitent en savoir plus sur les brevets d’invention
peuvent se rendre sur mon autre site intitulé PROPRIETE INDUSTRIELLE VECUE en
cliquant sur le lien suivant : http://propr.indus.vecue.pagesperso-orange.fr/.
SOURCES DES DOCUMENTS BREVETS AUXQUELS CE
SITE DONNE ACCES
Dans le présent site, les
textes originaux complets de la plupart des brevets mentionnés ont été
téléchargés au format pdf à partir de la banque de données brevets qui est
publiée par l’OFFICE EUROPEEN DES BREVETS (OEB) dans son site http://worldwide.espacenet.com/.
Certains textes originaux
de brevets français datant du 19ème siècle , en particulier ceux
mentionnés dans la quatrième partie du présent site, proviennent du
téléchargement des copies numériques, sous forme de documents jpg noir et blanc
200dpi, obtenus auprès du fonds d’archives de l’INPI à l’adresse suivante https://www.inpi.fr/fr/copie-de-brevet-francais-en-basse-definition-de-1791-1901.
Ces copies numériques ont été traitées par l’auteur du présent site Web pour
générer des documents au format pdf.
Les documents brevets, auxquels le présent site donne
accès, sont librement utilisables à condition d’en citer la source sous la
forme (suivant le cas) : « Source : banque
de données brevets OEB » ou « Source :
archives INPI ».
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SOURCES OF PATENT DOCUMENTS TO
WHICH THIS SITE GIVES ACCESS
On this site, the full original texts of most of the mentioned patents have
been downloaded in pdf format from the patent database which is published by
the EUROPEAN PATENT OFFICE (EPO) on its site http://worldwide.espacenet.com/.
Certain original texts of French patents dating from the 19th century, in
particular those mentioned in the fourth part of this site, come from the
downloading of digital copies, in the form of 200dpi black and white jpg
documents, obtained from the archives of the INPI at the following address https://www.inpi.fr/fr/copie-de-brevet-francais-en-basse-definition-de-1791-1901. These digital copies have been processed by the author of this website to
generate documents in pdf format.
Patent documents, to which this site gives access, are freely usable on
condition that the source is cited in the form (as the case may be): "Source: EPO patent database" or "Source: INPI archives".
Pour revenir à
l’introduction …. cliquer ici
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Dans la première partie de
ce site, (1) on va examiner la propriété industrielle
brevets prise par des firmes françaises
en France, propriété industrielle attachée aux trains-jouets BLZ,
JEP, EDOBAUD, HORNBY, CR et LR, puis (2) on
reviendra sur l’histoire de la production brevets des années
1920 à 1965 et ensuite (3) on
continuera avec l’examen des brevets d’invention déposés en France par les firmes GéGé, JOUEF, VB et par
d’autres entités innovantes……………. :
-
les trains-jouets BLZ : dans cette première section, on pourra prendre connaissance et accéder au texte
intégral de six
brevets attachés aux trains-jouets BLZ ;
-
les trains-jouets JEP : dans cette seconde section, on pourra prendre connaissance et accéder au texte
intégral de dix-sept
brevets attachés aux trains-jouets JEP ;
-
les trains-jouets EDOBAUD :
dans cette troisième section, on
pourra prendre connaissance et accéder au texte intégral de deux brevets attachés
aux trains-jouets EDOBAUD ;
-
les trains-jouets HORNBY :
dans cette quatrième section, on
pourra prendre connaissance de l’importante production de brevets des
entreprises créées par Frank HORNBY et accéder au texte intégral de quinze brevets attachés
aux trains-jouets HORNBY ;
[A noter,
en ce qui concerne la firme HORNBY, que nous avons assimilé les brevets étendus
en France par cette firme - après un premier dépôt fait en GB ou CH - à autant
de premiers dépôts français]
-
les trains-jouets CR (CR :
abréviation de Charles ROSSIGNOL) : dans cette cinquième section, on pourra prendre connaissance et accéder au texte
intégral des brevets identifiés à ce jour (au nombre de
sept), concernant les trains-jouets CR ;
-
les trains-jouets LR (LR :
abréviation de Louis ROUSSY) : dans cette sixième
section, on pourra prendre connaissance et accéder au texte
intégral des brevets identifiés à ce jour (au nombre de
sept), concernant les trains-jouets LR ;
-
essai sur un bilan brevets des années 1920 à 1965 : dans cette septième section, on donnera, sans avoir la prétention
de dire le dernier mot sur le sujet, un bilan chiffré de la production de
brevets français d’invention pendant la période allant de 1920 à 1965 ; au
cours de l’exposé de ce bilan, des firmes de trains-jouets autres que BLZ, JEP,
EDOBAUD, HORNBY et LR seront mentionnées, en particulier les firmes GéGé, JOUEF
et VB qui seront étudiées dans les sections suivantes de la première partie de
ce site ;
-
les trains-jouets GéGé (GéGé ou GG étant
l’abréviation de Germain GIROUD) : dans cette huitième
section, on pourra prendre connaissance et accéder au texte
intégral de sept brevets attachés
aux trains-jouets GéGé ;
-
les trains-jouets JOUEF : dans cette neuvième section, on pourra prendre connaissance et accéder au texte
intégral de neuf brevets attachés
aux trains-jouets JOUEF ;
-
les trains-jouets VB (VB : initiales des noms de
famille des fondateurs, messieurs VOLLON et BRUN) : dans
cette dixième section, on
pourra prendre connaissance et accéder au texte intégral de sept brevets attachés aux trains-jouets VB ;
-
les trains-jouets JRA (JRA : abréviation
de Jacques-René ALLARD) : dans cette onzième
section, on pourra prendre connaissance et accéder au texte
intégral de brevets identifiés à ce jour, attachés aux activités de JRA du
magasin « Au Pullman » ;
-
la suite des « AUTRES »
trains-jouets : nous
faisons suite, dans cette douzième section, au bilan chiffré de la production de
brevets français d’invention pendant la période allant de 1920 à 1965 qui a été
présentée dans la septième section
de la première partie de ce site.
Rappelons que l’analyse de la
littérature brevets a fait ressortir l’existence d’environ 147 brevets français :
- environ 63 de ces brevets ont été déposés par
les 7 firmes BLZ, JEP, HORNBY, LR, GéGé,
JOUEF et VB (cf. ci-avant les sections suivantes de la première partie de ce
site : première, seconde, quatrième, sixième, huitième, neuvième et dixième),
- le reste, environ 84 de ces brevets, a été déposé par
environ 70 firmes et inventeurs indépendants,
lesquels constituent ensemble les « AUTRES ».
Dans la onzième section qui précède, nous
avons commencé l’étude des entités déposantes dites « AUTRES » en
nous intéressant en premier lieu, ici, à l’entité déposante la plus productive
des « AUTRES » consistant dans JRA du magasin « Au
Pullman ».
Dans la présente douzième section de la première partie de ce site,
nous allons donc continuer cette étude des « AUTRES ».
……….
A suivre ………
Pour revenir à l’introduction …. cliquer
ici
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Dans la seconde partie de ce
site, on se penchera sur certaines techniques développées par les
fabricants de trains-jouets français, sur leurs évolutions et/ou sur leurs
transformations. On parlera notamment, dans ce cadre, du fonctionnement des
locomotives et des transformations techniques pouvant être apportées :
-
dans une première
section de cette seconde partie, examinons certains aspects
techniques concernant les trains-jouets BLZ :
·
dans une première approche, on se penchera sur le fonctionnement électrique des
locomotives BLZ de type 1B1 et les modifications pouvant être faites pour leur éclairage ; puis
·
dans une seconde approche, on s’intéressera à la
structure et au fonctionnement des grosses locomotives BLZ de type CC,
versions zamac et acier ;
- dans une seconde section de cette seconde partie, abordons certains aspects
techniques du matériel commercialisé par
LA VIE DU RAIL (comme
par exemple la locomotive 2D2 5516 et la locomotive 3.521 NORD), et examinons
une manière possible utilisable pour transformer une
locomotive à courant continu en une locomotive à courant alternatif ;
……….
A suivre ………
Pour revenir à l’introduction …. cliquer
ici
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Dans la troisième partie de ce
site, on se penchera sur ce qui s’est passé à l’étranger
dans les années 1860 à 1968 (ou même après 1968) en matière de brevets d’invention. Plus
précisément, dans cette troisième partie, on pourra
prendre connaissance de la propriété industrielle brevets concernant :
-
dans une première
section : les trains-jouets DISTLER ; DISTLER
est une firme allemande de Nuremberg qui a déposé et obtenu, entre 1926 et 1968, environ
14 brevets concernant les
trains-jouets.
-
dans une seconde
section : les trains-jouets LIONEL ;
en 1937, dans un rare catalogue en langue française, la grande firme américaine
se présente en expliquant ce qu’il y a derrière le nom
« LIONEL » : « ♦
la plus grande fabrique de chemins de fer miniature au monde ; ♦ des
millions d’outils et de matrices pour fabriquer des trains meilleurs et (de) dernier cri ; ♦ plus, le génie
inventif … (auquel on doit) … le
véritable sifflet de chemin de fer … les signaux automatiques … la commande à
distance … des aiguillages (perfectionnés) … le transformateur Multivolt … un procédé pour l’émaillage des wagons
… ; ♦ plus, des
douzaines de brevets … LIONEL est, maintenant comme toujours, le pionnier de la
fabrication des chemins de fer et la loi protège le pionnier en lui délivrant
des brevets ; ♦
plus, une main-d’œuvre incomparable ….».
Au 31/12/1938,
il existait approximativement 94 brevets américains qui ont été déposés et publiés au
nom de la firme LIONEL.
Dans cette seconde section de la troisième partie du site, nous
présentons (i) un bilan chiffré de la production de brevets US déposés pendant
la période allant de 1900 à 1938, bilan établi en termes de nombre de brevets
par année et de nombre de brevets par catégorie (accessoires, voies, attelages,
matériel roulant et traction), puis (2i) les listes de brevets US déposés,
pendant cette même période, concernant respectivement les trois premières
catégories, à
savoir celles des accessoires, des voies et des attelages. Pour connaître la suite, à savoir les listes de brevets US
déposés concernant les deux dernières catégories, à savoir celles du
matériel roulant et de la traction, nous prions le lecteur d’entrer dans la troisième
section suivante.
-
dans une troisième
section : la suite 1 des trains-jouets LIONEL ; cette troisième section de la troisième partie du site est consacrée à la
suite de l’étude de la propriété industrielle brevets attachée aux trains-jouets
LIONEL et nous y présentons les listes de brevets US déposés pendant la période allant de 1900 à
1938 concernant les autres catégories de réalisations, à savoir celles du
matériel roulant et de la traction.
-
dans une quatrième section : les trains-jouets IVES ;
le portefeuille brevets attaché à cette autre firme US comprend environ 37
brevets et il a été partagé entre les deux partenaires, LIONEL et AMERICAN FLYER,
de la Joint-Venture née en 1928 après la faillite de la firme IVES.
-
dans une cinquième
section : la suite 2 des trains-jouets LIONEL ; cette cinquième section de la troisième partie du site est consacrée à la
suite de l’étude de la propriété industrielle brevets attachée aux
trains-jouets LIONEL et nous y présentons les listes de brevets US déposés pendant la période allant
de 1939 à
1945.
-
dans une sixième
section : les locomotives à vapeur vive ; cette sixième section de la troisième partie du site est consacrée à la
propriété industrielle brevets produite par les fabricants allemands les plus importants de
locomotives miniatures à vapeur vive, tels que notamment les frères MARKLIN
(1859 à nos jours), les frères BING (1863-1932), Ernst PLANK (1866-1925), Jean
SCHOENNER (1875-1912), Georges CARETTE (1888-1935).
-
dans une septième section, on va
s’intéresser au portefeuille brevets attaché aux trains-jouets BUCO ; le nom BUCO
est celui d’un fabricant de jouets situé à Diepoldsau en Suisse et il vient de
la contraction de l’appellation BUCHERER
& Co ; toutes proportions gardées, la firme BUCO fut considéré comme le
« HORNBY suisse ».
Environ 19
brevets suisses, dont certains ont été étendus à l’étranger, ont été déposés
entre 1920 et 1957. La répartition du contenu de ces brevets par thème est la
suivante : 5 brevets visent à
protéger différents modèles de poupées articulées ; 6 brevets sont axés sur d’autres jouets mécaniques formés de
plusieurs parties mobiles ; et 8
brevets concernent les trains-jouets.
-
dans une huitième section, on parlera de la
création du vrai premier train à
moteur électrique et de la propriété industrielle brevets qui l’a soutenu à
l’époque. On se situera dans les années 1834 à 1897. On évoquera des
inventeurs et constructeurs comme, notamment, Thomas DAVENPORT, Murray BACON,
CARLISLE & FINCH, Moritz JACOBI, Jéhru GARLICK.
-
dans une neuvième section, on va
s’intéresser au portefeuille brevets concernant les trains-jouets AMERICAN FLYER qui ont été fabriqués et
commercialisés par la firme US AMERICAN FLYER pendant sa période dite
« Chicago Era » allant de 1907 à 1938. Environ 63 brevets américains, concernant les
trains-jouets, ont été déposés et obtenus.
Dans cette neuvième section de la troisième partie du site,
nous présentons (i) un bilan chiffré
de la production de brevets US déposés pendant la période allant de 1907 à
1938, bilan établi en termes de nombre de brevets par année et de nombre de
brevets par catégorie (accessoires, voies, attelages, matériel roulant et
traction), puis (2i) les listes de brevets US déposés, pendant cette même période, concernant respectivement les
trois premières catégories, à savoir celles des accessoires, des voies et des attelages
(soit environ 30 brevets).
-
dans une dixième section :
la suite des trains-jouets AMERICAN
FLYER ;
on va passer ici en revue les (environ) 33 brevets US déposés et concernant les
deux dernières catégories, à savoir celles du matériel roulant et de la traction.
-
dans
une onzième section : on va s’intéresser au portefeuille brevets
concernant les trains-jouets DORFAN ; dans cette nouvelle section, on
parlera non seulement de DORFAN, mais encore des firmes KRAUS-FANDOR (le
berceau de DORFAN) et NEW JERSEY ZINC COMPANY (un partenaire de DORFAN).
-
dans
une douzième section : on va examiner en particulier certains des brevets US déposés par MTH ayant contribués à protéger les trains-jouets LIONEL CORPORATION TINPLATE, fruit du rapprochement de MTH Electric Trains avec LIONEL Electric
Trains.
-
dans
une treizième section : on va prendre connaissance de la
propriété industrielle brevets concernant l’Espagne où (environ) 19 brevets ont
été déposés dans le domaine des trains miniatures.
-
dans une
quatorzième section : on va s’intéresser au
portefeuille de brevets US concernant les trains-jouets HAFNER qui ont été
fabriqués et commercialisés par la firme américaine HAFNER MANUFACTURING
COMPANY entre 1905 et 1951.
-
dans une quinzième
section : on va
s’intéresser ici au portefeuille de brevets US (environ 40 brevets)
concernant les trains-jouets MARX qui ont été
fabriqués et commercialisés par la firme américaine LOUIS MARX & CO entre 1920
et 1975, en classant comme d’habitude les brevets par catégorie (accessoires,
voies, attelages, matériel roulant, traction et circuits complets). Dans cette quinzième
section, on examinera d’abord les brevets concernant les trois
catégories des accessoires, voies et circuits
complets. Pour connaître la suite, à savoir les
listes de brevets concernant les trois autres catégories des attelages, du matériel
roulant et de la traction, nous prions le
lecteur d’entrer dans la seizième section suivante.
-
dans une seizième
section : la suite des trains-jouets MARX ; on va passer
ici en revue les brevets US déposés entre 1920 et 1975 et concernant les autres
catégories, à savoir celles des attelages, du matériel
roulant et de la traction.
……….
A suivre ………
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Rappelons que les
sujets hétéroclites et ou insolites traités dans cette quatrième partie devront
tous concerner les trains-jouets anciens et les brevets qui leur sont attachés,
et être si possible des sujets d’une grande originalité. Aucune chronologie ne
sera respectée dans la présentation des sujets.
Plus
précisément, dans cette quatrième partie, on pourra
prendre connaissance des sujets concernant :
-
dans une première section : Les trains-jouets TANTET et MANON ou l’application de la crémaillère aux jouets
mécaniques. TANTET et
MANON est une firme française qui a existé entre 1885 et 1902. Elle a déposé, entre 1888 et 1891, 4 documents brevets concernant
l’utilisation de la crémaillère dans le mécanisme d’entraînement des jouets
animés, lesquels jouets ainsi équipés ont remportés un vif succès à l’époque.
-
dans une seconde
section : Les régulateurs-1 montés sur les locomotives mécaniques. Dans ce premier
développement, nous présentons quelques réflexions à propos de régulateurs de
vitesse. Selon une 1ère réflexion, on
montrera que le premier inventeur n’était pas celui que l’on
croit. Selon une 2ème réflexion, on
montrera que
-
dans une troisième
section : Les régulateurs-2
montés sur les locomotives
mécaniques. Dans ce second développement, nous
proposons : d’une part une réflexion finale en forme
de bilan faisant l’inventaire des points forts et des points faibles des
dispositifs réalisés par les uns et les autres et d’autre part un complément
technique où seront illustrés des régulateurs de vitesse centrifuges
réels montés à l’intérieur de locomotives mécaniques.
-
dans une quatrième
section : Les trains-jouets MALTETE
et PARENT. Cette firme a déposé, entre 1866
et 1887, 7 documents brevets dans le domaine des chemins de fer jouets. Elle a
su réaliser des nouveautés originales et insolites qui « ont fait
florès » à l’époque, comme par exemple des trains avec un sifflet logé sous
la locomotive, fonctionnant à chaque tour de roue.
-
dans une cinquième section : Les autres trains-jouets du 19e
siècle. Dans cette cinquième section, nous allons examiner 8
créations techniques originales qui ont été brevetées, au cours de la seconde
moitié du 19è siècle, par d’autres fabricants de chemins de fer jouets comme
Didier DESSEIN, Jules Edmond FAIVRE, la société E. F. LEFEVRE, Charles ROSSIGNOL
et la société Charles ROSSIGNOL et Cie.
……….
A suivre ………
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CINQUIEME PARTIE DU
SITE : LES BREVETS D’INVENTION DEPOSES EN FRANCE PAR DES
NATIONAUX ETRANGERS
Rappelons que le
choix d’un pays industriel comme la France, dans lequel une société étrangère
vient déposer un brevet, constitue toujours une décision stratégique de
première importance.
Dans
le cadre de la procédure normale généralement utilisée, telle ou telle demande
étrangère initiale (une demande anglaise ou une demande allemande par exemple)
a pu faire l’objet d’une extension en France pour notamment l’une et/ou l’autre des raisons suivantes : (i)
il y a en France un marché existant avec des concurrents qui sont solidement
implantés et exercent une activité de production et de recherche qu’il convient
de gêner par le dépôt d’un brevet français venant limiter leur liberté d’exploitation ;
(2i) il existe en France un marché existant où des firmes pourraient être
intéressées par une prise de licence sur le produit ou le procédé faisant
l’objet du brevet étendu en France ; (3i) il existe en France un marché
potentiel pour le produit ou le procédé selon le brevet demandé et obtenu en
France.
On verra qu’il peut exister d’autres procédures de
dépôt comme par exemple la réalisation d’un premier dépôt directement en France
fait par la société étrangère, suivi ou non par une extension dans le pays de
la société étrangère, réalisée dans le délai de priorité française.
Plus
précisément, dans cette cinquième partie, on pourra
prendre connaissance des brevets déposés en France par les nationaux étrangers
suivants :
- dans
une première
section : ceux
déposés entre 1900 et 1970 par la firme allemande MARKLIN ;
- dans une seconde section : ceux
déposés en France par des inventeurs allemands AUTRES que MARKLIN ; dans cette section, comme dans
les suivantes, nous examinerons les créations techniques (ne concernant pas les
locomotives à vapeur vive) qui ont été brevetées en France par des
entités innovantes comme, notamment, les frères BING, Max ERNST, les
frères FLEISCHMANN, les
frères LEHMANN,
Friedrich OTTENSTEIN ;
Dans
cette seconde
section de la cinquième partie du site, nous présenterons la liste (non
exhaustive) des brevets en question déposés en France entre les années 1900 et 1947 ;
- dans une troisième
section : les brevets constituant la suite 1, c’est-à-dire ceux déposés en France par des inventeurs allemands AUTRES que MARKLIN, cette
fois, entre les années
1948 et 1961 ;
- dans une quatrième
section : les brevets constituant la suite 2, c’est-à-dire ceux déposés en France par des inventeurs allemands AUTRES que MARKLIN, cette
fois, entre les années 1962
et 1967 ;
- dans une cinquième section : les brevets constituant la suite 3, c’est-à-dire ceux déposés en France par des inventeurs allemands AUTRES que MARKLIN, cette
fois, entre les années 1968 et 1980 ;
- dans une sixième section : les brevets déposés en France entre les années
1920 et 1980 par des inventeurs japonais. A la vue des résultats, deux
sujets d’étonnement pourront possiblement frapper le lecteur : un premier sujet
d’étonnement concerne le nombre des brevets déposés sur la période considérée,
et un second sujet d’étonnement a trait aux domaines protégés dans ces brevets
;
……….
A suivre ………
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Dans cette sixième partie, on pourra
prendre connaissance des mises à jour et compléments suivants :
- dans
une première section : mise
à jour consistant dans l’ajout de nouveaux brevets déposés en France par des
français ; cette
mise à jour, commencée en octobre 2020, apporte à la date de son actualisation
24 nouveaux brevets français à lire (10 datant d’octobre 2020 et 14 issus de
l’actualisation de mai 2021) ;
- dans une seconde section : mise à jour consistant
dans l’ajout de nouveaux brevets déposés en France par MARKLIN ;
- dans
une troisième section : complément consistant dans l’analyse d’une première affaire
judiciaire en matière de brevet, survenue en 1930 aux USA, l’affaire HANDY et al.
v. AMERICAN FLYER MFG. CO ;
-
dans une quatrième section : la suite 1 de la jurisprudence ; dans cette quatrième section, on va
présenter quelques cas
de jurisprudence américaine, publiés dans la période allant de 2000 à
2011 ;
……….
A suivre ………
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Notre étude concerne essentiellement
les brevets déposés dans un pays étranger par des personnes physiques ou
morales résidant en France, ce qui implique ici l’existence d’un premier
dépôt (demande initiale) fait en France par un déposant résidant en France.
Dans le cadre d’une procédure
normale, la firme française protège son invention en faisant d’abord un premier
dépôt (demande initiale) en France, lequel sera suivi - dans un délai donné -
d’une extension de ce premier dépôt dans tel et/ou tel pays étranger(s) pour
protéger son invention à l’étranger. Cette extension consiste
à déposer, dans chaque pays étranger choisi, une demande seconde (dont le texte
est identique à celui de la demande initiale ou modifié par rapport au texte de
cette dernière) en vue d’obtenir le brevet étranger souhaité.
Plus
précisément, dans cette septième partie du site, on
pourra donc prendre connaissance des brevets déposés à l’étranger par les firmes françaises dont les brevets français ont été
étudiés antérieurement dans les PREMIERE, QUATRIEME et SIXIEME PARTIES du site.
……….
A suivre ………
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